Le CTIFL était présent au SIA 2025, qui s'est tenu à Paris Expo Porte de Versailles jusqu'au 2 mars. Administrateurs, directeurs et ingénieurs ont multiplié les échanges et interventions pour défendre la compétitivité de la filière et accompagner ses évolutions.
Sur le stand de l'ACTA, les ingénieurs du CTIFL ont présenté des actions visant à améliorer la compétitivité de la filière et à évaluer sa performance économique, ainsi que des solutions innovantes pour la gestion des adventices, notamment à travers le projet PARSADA.
Le stand d'Interfel a accueilli de nombreuses rencontres stratégiques avec des acteurs de la filière, tels que des représentants du Sénat, du Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, de l'Anses, de l'INAO, du GEVES, du SIVAL d'Angers, du pôle de compétitivité VEGEPOLYS VALLEY et d'associations de producteurs.
Une conférence sur les enjeux et perspectives de la filière a réuni des présidents d'Interfel, du CTIFL et d'Aprifel, qui ont souligné la nécessité d'une visibilité sur les financements et d'une harmonisation européenne des règles pour garantir la compétitivité du secteur.
Lors du concours "Les Talents des Fruits & Légumes", le président du CTIFL a remis plusieurs prix, mettant en avant l'apport technique du centre et saluant l'engagement des professionnels.
Un rendez-vous stratégique entre le CTIFL et l'INRAE a permis de mettre en lumière l'accélération des collaborations sur le matériel végétal, la robotique et la protection des cultures, en présence du PDG de l'INRAE et de la Directrice scientifique Agriculture.
Lors d'une matinale consacrée au changement climatique, des représentantes du CTIFL ont présenté le diagnostic de l'empreinte carbone de la filière et des leviers concrets de réduction, en collaboration avec Interfel, l'Association d'organisations de producteurs (AOP) tomate concombre et CPV Associés.
Les enjeux majeurs ont été réaffirmés par des représentants du CTIFL, notamment le renforcement du financement du plan de souveraineté alimentaire, l'encouragement à la consommation de fruits et légumes, la valorisation du rôle clé du CTIFL auprès des professionnels, et la nécessité de remettre le consommateur au centre des débats tout en préservant les intérêts des producteurs.